Atelier comme anagramme de réalité !
L’atelier comme lieu immersif, dans un espace diachronique où les anciennes peintures et les plus récentes non seulement cohabitent mais sont également dans une forme de transversalité sensible et réflexive. C’est là où se fagotent dans le « musement » et s’agrègent des formes et des pensées qui perdurent dans une temporalité métastable.